Entre 2013 et 2015, j'ai subi des abus de pouvoir de la part de deux professeures de solfège dévolues aux adultes. L'une d'elles a baissé arbitrairement des notes qu'elle m'avait elle-même attribuées, avec l'argument qu'elles ne correspondaient pas à mon niveau. Je n'ai pu obtenir de dialogue. L'autre enseignante, dans un conservatoire annexe, m'a demandé de répéter ce que je venais de dire à ma voisine -cure de jouvence ramenant en classe de CP? - je suis retraitée-. L'explication que j'ai sollicitée a été accueillie sèchement par un déni : "je ne vois pas de quoi vous parlez". Je voudrais ajouter que cette dernière professeure désignait l'ordre d'entrée des élèves -adultes !- dans la classe pour passer les examens oraux ; m'étant présentée avant mon tour, par erreur, je me suis fait méchamment renvoyer dans le couloir! subis par des enfants, ce traitement désobligeant, déloyal, cette déplorable pédagogie verticale, sont particulièrement préjudiciables. Il semblerait que ces professeures aient ciblé certaines têtes pour exercer leur maltraitance, humilier ; peu honorable. J'ai reçu le soutien d'un directeur, qui est resté théorique. Ni lâche ni lèche ou courtisane -la cour était déjà bien représentée-, j'ai préféré garder l'honneur, quitter les lieux et choisir une professeure de solfège privée, sympathique, heureuse et motivée.